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Dissertation sur le thème du travail corrigée en prépa

Le travail un mal nécessaire - mark twain (1835-1910).

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Sujet de dissertation : Le travail, un mal nécessaire

Vous trouverez ci-dessous une dissertation rédigée sur le thème du travail en CPGE. Ce sujet est proche des sujets donnés chaque année aux élèves de MP, PC, PSI ou encore MPI et PT aux concours Centrale Supelec, Mines Ponts, CCINP ou encore Polytechnique et ENS.

« Le travail est un mal nécessaire » a écrit le romancier états-unien Mark Twain (1835-1910). À la lumière des œuvres au programme, vous discuterez ce propos.

Accroche de la dissertation : « A la sueur de ton front, tu mangeras du pain jusqu’à ce que tu retournes à la terre puisque tu en es tiré, car poussière tu es et à la poussière tu retourneras ». Le travail serait-il une malédiction divine ? Quoi qu’il en soit, l’Ancien Testament paraît présenter la « naissance » du travail comme une conséquence nuisible de la rupture du pacte édénique par Adam et Eve. De là découle une partie de l’héritage occidental, repris par Mark Twain, présentant le travail comme un des maux structurels de l’humanité – mais indépassable pour pouvoir « manger du pain », se nourrir, exister.

Si vous souhaitez explorer davantage ces thèmes et développer vos prédispositions en analyse littéraire pour des dissertations similaires, envisager des cours particuliers de français peut vous offrir une préparation spécifique pour réussir dans ce type d’exercice.

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Définition dynamique des termes du sujet de dissertation

Cette idée de travail-souffrance , de travail éreintant (« à la sueur de ton front ») était en partie partagé par les Antiques, qui distinguaient, dans cet ensemble « d’activités » que nous regroupons aujourd’hui sous le terme « travail », entre le labor, le negotium et l’otium. Le labor semble être le terme le plus propre à s’inscrire dans cette idée de « mal nécessaire » : il s’agissait du travail manuel physique, fatiguant, voire dégradant (notamment le travail de l’esclave) ; le travail de « bête de somme » qui est celui des ouvriers dans les écrits de Simone Weil. Le negotium est l’activité commerçante, celle de l’artisan ou du marchand, le « gagne-pain » quotidien qui n’avait pas non plus bonne presse dans l’aristocratie antique et médiévale. Celle-ci se consacrait de préférence à l’otium, cette oisiveté créatrice et productrice conduisant à la pratique de l’art, de la philosophie ou de la politique.

D’emblée, il nous faudra donc nous demander si le propos de Mark Twain ne concerne pas, peut-être, davantage le labor. Il est d’ailleurs possible d’y percevoir, sinon un biais subjectif, du moins l’influence du contexte historique et économique dans lequel écrit Mark Twain (la révolution industrielle qui provoque mille souffrances, avec un « labor » confinant au supplice pour bien des ouvriers). Peut-être pourra-t-on cependant élargir le propos à l’ensemble du spectre du « travail » , défini comme « une activité humaine exigeant un effort soutenu qui vise à la modification des éléments naturels, à la création et/ou à la production » . Twain emploie par ailleurs l’article défini « le » travail (non l’article indéfini « un ») : il aurait ainsi une vision englobante du travail, sans distinguer la diversité foisonnante de tout ce que l’on peut recouvrir sous ce terme « travail ». [N.B. il peut être utile de glisser des analyses grammaticales portant sur les « petits mots » du sujet comme l’article défini « le » travail]. Cette unification du travail, nous l’avons vu, n’est pas celle convoyée par l’étymologie.

Nous nous demanderons également si le « travail » relève du registre tragique – en ce qu’il est comme inévitable, conduit par une certaine fatalité ; s’il est « nécessaire » ou bien dispensable et futile. La nécessité relève presque des lois de la physique (il est nécessaire que la pomme tombe de l’arbre), et s’oppose à ce qui est dispensable. L’usage du présent de vérité générale par Twain (« est » nécessaire) signale bien cette dimension de vérité scientifique universalisable (le sens d’emploi classique du présent de vérité générale, au même titre que « La Terre tourne autour du Soleil »). Plus que de physique, Mark Twain semble tout de même parler davantage de nécessité pratique : le travail est nécessaire pour la subsistance de l’existence, en somme pour manger. Nous nous demanderons donc si ce travail est « nécessaire » à l’échelle de chaque individu ou de la société ; et si cette nécessité est forcément également un « mal », dans le sens de ce qui est dommageable, néfaste ou nuisible à l’humain (« malum » signifiait d’ailleurs « pomme » également en latin, nous renvoyant à cette vision vétérotestamentaire). Le travail ne peut-il pas naître aussi du plaisir ou du désir ? La paresse est-elle forcément un « bien enviable » ?

En somme, il s’agira de se demander également si le travail est damné à rester dans le domaine du nuisible imposé – ou si, en changeant la contrainte (imposée de l’extérieur) en obligation (imposée par soi-même), il n’est pas possible de voir le travail autrement que sous le prisme du « mal », mais comme un moyen donné à l’humain de se libérer, de transformer le monde, d’objectiver sa conscience de soi.

Dissertation corrigée sur le travail en CPGE

Le travail et la pénibilité coexistent, comme disait Mark Twain ?

Problématisation par rapport aux œuvres.

Nous sommes donc face à un paradoxe : le travail est une alternative qui n’est pas souhaitable mais indépassable ; un mal nécessaire que l’on ne peut éviter. Il est vrai que le travail peut apparaitre comme une nécessité matérielle , voire morale, indispensable ou bénéfique à plusieurs égards ; cependant d’un autre côté, en conservant ces bienfaits n’est-il pas possible de changer la contrainte en obligation, et de passer d’un travail aliénant à un travail libérateur, à un travail non-nécessaire, mais accompli et volontaire ? (Ou bien : peut-on concilier la nécessité de subsistance du travail avec la perspective d’un travail qui ne soit ni pénible ni aliénant pour l’humain, et qui transforme la nécessité ou la contrainte en travail libérateur et accomplissant ?)

Annonce des axes

En quoi le travail peut-il être en première instance qualifiée de nécessité néfaste ? Nous verrons que cette nécessité peut s’établir non seulement sous l’angle matériel, mais encore sous l’angle de la nécessité morale et métaphysique ; et que c’est de cette nécessité que découle la pénibilité, le caractère « mauvais » voire « maléfique » du travail.

  • Nous nous demanderons pourtant si ce travail est d’une universelle nécessité, pour chaque catégorie d’humains, notamment pour les riches, les rois, les artistes ; et si les temps de repos ne permettent pas de soulager ce caractère néfaste du travail (nous verrons pourtant qu’ils sont eux-mêmes contaminés par les conséquences négatives du travail).
  • En dernière instance, nous montrerons que si les contraintes d’un travail pénible peuvent être allégées par l’otium du contemplatif ou les progrès de la technique, le travail demeure un horizon souhaitable pour l’humanité – à condition qu’il relève davantage de la contrainte que de l’obligation, il peut être un « bien » désirable plus qu’un mal nécessaire.

Dissertation en prépa scientifique : le travail mal nécessaire

Ne perdons pas de vue que Mark Twain écrit dans le contexte de la Révolution industrielle, marquée par l’exode rural et la dégradation des conditions de vie des ouvriers.

L’activité de travail nécessaire pour l’être humain.

L’activité travailleuse paraît bien être en premier lieu un horizon indépassable et nécessaire pour l’humanité. Cette nécessité est également nuisible et néfaste, « mauvaise », pour le dire avec Twain, confinant d’ailleurs peut-être plus à la servilité qu’à la simple pénibilité.

Travail, besoins matériels humains et présence physique

Le travail est une nécessité matérielle pour l’humain en termes de subsistance physique : il lui est nécessaire pour satisfaire des besoins primaires . Ceux-ci ne peuvent être comblés que par la force de travail permettant à l’humanité de disposer des conditions de sa survie élémentaire. Si selon le mot de Molière, il ne faut pas « vivre pour manger » mais « manger pour vivre », il est également nécessaire de « travailler pour manger ». Il y a ainsi une nécessité universelle du recours au travail pour l’humanité afin de persévérer dans ses fonctions biologiques.

Exemple : Cette nécessité ancienne et universelle du travail pour se nourrir et survivre est reconnue par Simone Weil dans la Condition ouvrière (y compris dans le chapitre pourtant nommé « Condition première d’un travail non servile »). En effet, dans ce chapitre Simone Weil souligne que le travail est « gouverné par la nécessité, non par la finalité » (nous soulignons). Et de compléter : « On l’exécute à cause d’un besoin, non en vue d’un bien ; « parce qu’on a besoin de gagner sa vie », comme disent ceux qui y passent leur existence ». Pour Simone Weil, le travail, ainsi marqué du sceau de la nécessité, procède dès lors de la « servitude, que même une parfaite équité sociale n’effacerait pas ». Dès lors, plus qu’un mal nécessaire encore, le travail est pour Simone Weil est une servitude semble-t-il nécessaire.

Transition : De cette nécessité du travail découle peut-être son caractère « mauvais » (« mal »), sa pénibilité.

Relation entre nécessité de travail et pénibilité du travail

Nécessité et pénibilité du travail paraissent liées entre elles et comme marquées du sceau de la fatalité. Un raisonnement par l’absurde peut le prouver : dès lors que le travail n’est plus marqué par la nécessité, l’humain cherche à en éviter la pénibilité intrinsèque . Le travail apparaît dès lors comme une contrainte (imposée par l’extérieur) et non comme une obligation (imposée par soi-même).

Exemple : Ce raisonnement par l’absurde se perçoit avec le mythe de l’âge d’or chez Virgile au Livre I. Avant Jupiter, durant l’âge d’or de Saturne, « les récoltes étaient mises en commun, et la terre produisait tout d’elle-même, librement, sans contrainte » ; et les humains, qui n’étaient pas tenus de travailler pour survivre, ne travaillaient pas même pour le plaisir. Le travail, note Virgile, est même à l’origine de plusieurs « maux modernes » si l’on se place du moins dans une perspective rousseauiste, notamment l’apparition de la propriété privée et des querelles de propriété : « Avant Jupiter, point de colon qui domptât les guérets ; il n’était même pas permis de borner ou de partager les champs par une bordure » écrit-il – comme regrettant la fin de l’unité et de la « mise en commun » du temps de l’âge d’or.

Transition : Le travail n’est-il cependant pas plus qu’un « mal » dans ces conditions de nécessité inévitable ? Le terme « mal » tel qu’employé par Twain est en effet quelque peu générique et peut renvoyer à des degrés très divers de gravité : bien plus que d’être un « mal », le travail ne peut-il pas être aussi considéré comme l’une des principales causes d’asservissement et de dégradation de la condition humaine ?

Le travail et la déshumanisation

Le travail peut être non seulement pénible, mais encore aliénant et déshumanisant ; il peut ainsi non pas se résumer à un simple « mal nécessaire », mais à une des conditions premières de la servilité humaine : est-il « un mal », ou « le Mal » ?

Exemple : Une telle vision aussi extrêmement négative du travail se perçoit dans la description faite par Simone Weil des conséquences physiques, et surtout mentales, imposées sur son être par l’expérience chez Alstom et Renault. Le travail non seulement pour Simone Weil est aliénant dans une perspective marxiste (il existe une distance radicale entre le travailleur et le fruit de son travail). Mais encore est-il proprement déshumanisant, atteignant la dignité de l’être humain et le transformant en « bête de somme », la comparaison revenant souvent dans le recueil. « Les choses jouent le rôle des hommes, les hommes jouent le rôle des choses ; c’est la racine du mal » écrit-elle aussi dans « Expérience de la vie d’usine ». Elle évoque encore (dans les « Lettres à Albertine Thévenon ») un travail « inhumain » réalisé à l’usine, se demandant « comment tout cela peut devenir humain ». L’ouvrier pour Simone Weil a donc une « tentation » omniprésente, « celle de renoncer tout à fait à penser », la pensée étant pourtant le propre de l’humanité.

Dissertation rédigée sur le travail en prépa scientifique

Le travail n’existe pas, n’est pas une nécessité : un idéal utopique ?

Transition : Dès lors, l’usage du présent de vérité générale par Mark Twain (le travail est un mal nécessaire) paraît justifié : il s’agirait d’une vérité presque scientifique et universalisable. Mais cette assertion résiste-t-elle à l’examen de contre-exemples possibles ? Mark Twain n’aurait-il pas dû accoler un adverbe de temps (« parfois ») à son présent de vérité générale ? Nous allons étudier cette question, en nous demandant réellement si pour tout homme et en toute condition sociale , le travail est un horizon indépassable de l’existence.

Dissertation rédigée travail Simone Weil

Le travail est-il un « mal nécessaire » ou bien un « Mal » majuscule, bien plus envahissant et déshumanisant pour l’homme ? C’est cette perte de dignité humaine par le travail moderne que décrit Simone Weil.

Qu’en est-il d’abord du travail de l’artiste ?

N’y a-t-il pas chez lui une échappatoire possible au caractère non seulement nécessaire mais encore néfaste du travail ? En vérité, et en première instance, il apparaît que pas même pour le génie, pas même pour celui qui pratique l’otium, cette nécessité du labeur éreintant ne peut être écartée a priori.

Exemple : Il est ainsi frappant de voir Virgile, dans les Géorgiques, décrire son travail poétique à plusieurs reprises par le champ lexical du labor. Le travail poétique , note en particulier Maurice Rat dans ses notes critiques à l’édition au programme, est désigné non pas sous le terme otium (ce que l’on attendrait), mais par le terme labor. Ainsi au Livre IV, Virgile se dit arrivé bientôt « à la fin de [s]es peines », en employant le terme labor qui renvoie également à l’idée de « mal » ou de souffrance nuisible mais nécessaire pour le poète. C’est seulement lorsqu’il évoque sa composition précédente (Les Bucoliques) que Virgile emploie le terme de « jeu », pour mieux mettre en valeur la dureté supposée de son travail ayant abouti à l’écriture des Géorgiques.

Transition : Nous avons vu, dans les deux exemples précédents de Simone Weil et de Virgile, que le travail était un mal nécessaire parce qu’il était sous-conduit et orienté en vue d’une finalité : se nourrir (premier cas) ou bien écrire et produire une œuvre de l’esprit exigeante (deuxième cas). Cependant, le travail est-il toujours lié à la finalité, est-il toujours un moyen nécessaire, mais pénible pour atteindre un but que l’on se fixe ? Pour les personnes n’ayant peut-être pas le besoin de travailler (un riche homme qui ne voudrait produire aucune œuvre), le travail n’est-il pas une nécessité, mais une futilité ?

Divertissement Pascalien et theme du travail en CPGE

Pascal fait du travail, englobé sous le concept de divertissement, qui recoupe aussi la guerre, les loisirs, et l’activité travailleuse, un moyen d’échapper à la « misère » de la condition humaine. Le travail n’est ainsi pas qu’une nécessité physique et matérielle – mais également une nécessité morale et métaphysique.

Le divertissement pascalien

Or pour des raisons liées au « divertissement pascalien », pour fuir l’ennui, le travail paraît aussi être une nécessité même pour les riches et les rois. Le travail est en effet également une nécessité morale et métaphysique – même sans finalité désirable apparente, même pour le riche ou le roi. Telle est l’utilité du travail décrite par Pascal : celle du « divertissement » (divertere, « détourner »). L’occupation, l’activité travailleuse, la guerre, la politique, la chasse , permettent, selon Pascal, au roi de ne plus penser à la condition misérable de l’existence humaine et à sa finitude : par conséquent, un « roi sans divertissement est un homme plein de misères ». Ainsi même sans nécessité matérielle apparente, le travail demeure nécessaire des points de vue moraux et métaphysiques.

Exemple : C’est quelque peu la même attitude qu’adoptent Olivier et Benoît à la reprise de Ravoire et Dehaze. Les deux héritiers n’ont pas tant un besoin matériel que cela de travailler : ils pourraient vendre leur entreprise au plus offrant et couler de beaux jours. Mais pour Oliver, il s’agit d’abord de se montrer fidèle à l’héritage paternel ; tandis que pour Benoît, la nécessité de devenir un forçat du travail en reprenant l’entreprise, résulte d’un certain désir d’aventure, pour donner sens à sa vie. « Le redressement est encore possible mais il exige une attitude absolument nouvelle partir de zéro vivre une aventure avec tout ce que cela comporte de rigueur de don de soi » lance-t-il ainsi, avant de reprendre la comparaison avec l’aventure quelques lignes plus loin : « ça me passionnerait de me jeter dans cette aventure-là et je me crois capable de réussir ». Le travail est dès lors, non une nécessité , mais une « aventure » pour donner sens à son existence, pour s’occuper ; c’est une question de passion morale.

Transition : Mais en dehors des plages de temps de travail, l’activité travailleuse n’est-elle pas rendue davantage supportable par la respiration offerte par le repos ? Dès lors, le travail peut-il, grâce à ces temps de non-travail, devenir plus acceptable, tendant vers le « moindre mal » et non vers le « mal majuscule » ? Nous allons voir que tel n’est pas forcément le cas…

Les effets négatifs du travail

Or, il peut être constaté que le travail a des effets négatifs, « mauvais » pour reprendre la terminologie de Twain, y compris sur les temps de non-travail – car il contamine l’univers mental de l’humain et en particulier les temps de repos. Le travail est ainsi non seulement un « mal majuscule » mais omniprésent, envahissant.

Exemple : Cette contamination totale de la pensée humaine par l’univers du travail est par exemple décrite par Simone Weil . Dans « La Rationalisation », elle explique ainsi que « l’oppression de la classe ouvrière sur le lieu du travail (…) se traduit par des souffrances prolongées, selon le cas, 48 heures ou 40 heures par semaine, mais qui peuvent se prolonger encore au-delà de l’usine, sur les 24 heures de la journée ». Une semblable contamination temporelle et mentale se lit aussi dans la description de son quotidien faite par Joëlle dans Par-dessus bord : elle décrit notamment une vie de famille et de loisir réduite au simple minimum, le travail du ménage prenant le relais du « travail-boulot » (« C’est surtout au lit que je suis avec mon mari le reste du temps le boulot le ménage encore le boulot le bistrot et puis vous savez il bricole »).

Le travail : séparation à vie ou inéluctabilité ?

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Voici le plan de la partie 3 et de la conclusion que vous retrouverez dans l’application PrepApp entièrement corrigées : 

Passer d’un travail comme contrainte à un travail facultatif

La technique aggrave-t-elle les conditions de travail , le travail peut être un « bien » plus qu’un « mal » dans de bonnes conditions, conclusion du thème : le travail un mal est nécessaire.

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Peut-on renoncer à faire du travail une valeur  ?

Par Olivier

Rédigé le 20 March 2009

6 minutes de lecture

conclusion dissertation sur le travail

  • 01. Introduction
  • 02. 1. Non, il ne faut pas renoncer à faire du travail une valeur
  • 03. 2. II faut renoncer à faire du travail une valeur en soi
  • 04. 3. II faut renoncer à faire du travail productif - non du travail créateur - une valeur
  • 05. Conclusion

Chrys

Introduction

On serait tenté de faire du travail une source d'épanouissement,le moyen de s'affirmer et d'exister socialement - par temps de chômage tout particulièrement. Le travail désigne en effet une activité consciente et volontaire, d'utilité commune. Il a, comme telle, une valeur à la fois sociale et morale. Toutefois, il semblerait qu'une telle valeur ne puisse être assignée qu'à une forme particulière de travail - non au travail en général: d'une part, en effet, le travail salarié recouvre une période historique limitée, pour autant qu'il n'a pas toujours existé (comme en témoigne l'esclavage, dans l'Antiquité), et n'existera pas toujours. D'autre part, le travail peut n'avoir qu'une valeur économique et marchande - ce qu'atteste le cas du travail aliéné, travail mécanique, répétitif, appauvrissant. Alors faut-il renoncer à faire du travail une valeur en soit? Sous quelle forme le travail peut-il conserver une certaine valeur?

1. Non, il ne faut pas renoncer à faire du travail une valeur

A. le travail a une valeur sociale.

Le travail exige un effort et une tension de la volonté: par lui, l'homme exploite ses capacités individuelles et canalise l'énergie de ses passions (son ambition, son désir d'acquérir ou d'être reconnu par exemple), dans un but d'utilité commune. Ainsi, quelle que soit la nature du travail fourni (intellectuel, manuel, technique), l'individu apporte-t-il sa contribution à l'économie comme à la culture d'une société. Ce faisant, il établi un mode de rapport rationnel - et non plus seulement affectif - avec les autres, et se socialise.

B. Le travail a une valeur morale

Précisément, en soumettant ses appétits et ses désirs immédiats au pouvoir de sa volonté, l'homme au travail apprend à les dominer: ainsi le commerçant devra-t-il faire preuve de diplomatie et de patience s'il veut conserver ses clients.Patience, sociabilité, continuité dans l'effort, telles sont les qualités individuelles généralement requises pour travailler. C'est donc parce que le travail implique nécessairement la maîtrise des passions et, en ce sens, la soumission à une certaine discipline, qu'il prépare l'individu à la moralité. Certes, il ne sera pas exigé d'un ébé­niste, d'un boulanger ou d'un ingénieur d'être «vertueux», et s'ils agissent, c'est nécessairement dans leur intérêt propre, non par philan­thropie: il reste que les vertus que l'on acquiert par son travail rendent plus à même de se comporter moralement - par respect pour autrui, donc, et non plus seulement pour réaliser un intérêt individuel. C. Le travail a une valeur en soi, pour autant qu'il est proprement humain Contrairement à l'activité animale, le travail est conscient: comme le dit Marx, en effet, le plus mauvais architecte est encore supérieur à l'abeille la plus experte, dans la mesure où il a conçu préalablement dans son esprit l'objet à réaliser. C'est pourquoi, loin de subvenir seulement à ses besoins vitaux par son travail, l'homme s'en dégage et s'en libère, par la conscience ou représentation extérieure qu'il a de l'objet à produire ou de la matière à transformer. Le travail a une valeur en soi, pour autant qu'il est proprement humain.

2. II faut renoncer à faire du travail une valeur en soi

A. de fait, le travail n'a qu'une valeur marchande.

Dans une société esclavagiste, l'esclave, par son travail, assure à sa place les besoins du maître. Dans une société d'économie capitaliste, le travail est assujetti aux néces­sités de la production. C'est ce que montre Marx, dans les Manuscrits de 1844: la classe économique qui détient le capital achète la force de travail de l'ouvrier, dont le salaire et le temps de repos sont calculés non en fonction de la valeur (qualité et quantité) du travail fourni, mais des besoins nécessaires au travailleur pour récupérer sa force de travail et la réinvestir au profit du capital. Ainsi existe-t-il un travail exploité - dans lequel l'homme aliène sa force de travail. Même si les progrès sociaux et l'apparition d'une série de classes inter­médiaires entre prolétaires et bourgeois en ont profondément modifié le contexte, cette analyse demeure valable au moins sur un point, dans un contexte économique qui privilégie la productivité sur toute autre valeur: le travail a essentiellement une valeur marchande.

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B. La «valeur» du travail est en réalité relative aux intérêts du marché

Précisément, parce que la valeur du travail n'est qu'une valeur écono­mique et marchande, elle ne dépend plus ni de la nature objective de la tâche effectué ni de la quantité du temps de travail. Premièrement, en effet, le travail n'a plus de valeur par lui-même; ainsi, du fait de la mécanisation des moyens de production, certaines formes de travail deviennent-elles superflues (la société n'a plus besoin de polisseurs de verre, par exemple). À l'inverse, d'autres formes de travail apparaissent et se développent, telles que les métiers concernant les médias, les psy­chologues d'entreprise, etc. Deuxièmement, il est de moins en moins possible d'évaluer la quantité du temps de travail: comme l'atteste la disparition progressive du travail posté, on rémunère de plus en plus une personne en fonction de sa pro­ductivité - soit du résultat de son travail -, non des heures effectuées pour le réaliser. La «valeur» du travail est donc en réalité relative aux intérêts du marché.

3. II faut renoncer à faire du travail productif - non du travail créateur - une valeur

A. l'idée de faire du travail salarié une valeur doit être abandonné, du fait de la disparition progressive du travail.

Dans le contexte économique actuel, le travail, sous la forme que nous lui connaissons, c'est-à-dire comme travail salarié, tend à disparaître: il est, pour cette raison, illusoire d'en faire la source de toute valeur - c'est-à-dire le principal moyen d'exister socialement et de se réaliser individuellement. Il convient en ce sens, à proprement parler, d'y renoncer, pour autant que cette forme de travail, dont l'apparition et le développement sont limités dans le temps, est révolue. Or, comme le remarque Gorz, dans Métamorphoses du travail, cette disparition progressive du travail salarié dont atteste, dans les sociétés modernes, le taux grandissant de chômage, préfigure en réalité, à long terme, une libération du travail: «Pour la première fois dans l'histoire moderne, le travail payé pourra cesser d'occuper le plus clair de notre temps et de notre vie.» Néanmoins, la lutte pour la réduction du temps de travail «suppose que celui-ci cesse progressivement d'être la seule ou même principale source d'identité et d'insertion sociales», et que dominent, par conséquent, «des valeurs autres que les valeurs écono­miques, des activités autres que celles, fonctionnelles (...) que nous commandent les appareils et institutions sociaux». S'il est donc non seulement nécessaire, mais souhaitable, d'aban­donner l'idée de faire du travail salarié une valeur, il est non moins nécessaire de concevoir désormais le travail autrement-comme travail bénévole, par exemple, à vocation essentiellement sociale (tel que l'aide ou l'assistance aux personnes âgées ou en difficulté), ou encore comme travail créatif.

B. Le travail créateur élève l'homme à la conscience de lui-même

De ce point de vue, l'époque moderne offre peut-être la possibilité de dénouer ou surmonter une situation que l'on mettait jusqu'à présent sur le compte de la nature contradictoire du travail: d'un côté, en effet, comme l'écrit Hannah Arendt, l'homme s'aliène dans la production d'objets consommables et, en ce sens, destructibles: il se définit comme animal laborans - en d'autres termes, comme esclave et otage de la société de consommation. D'un autre côté, en revanche, il crée des oeuvres (politiques, artistiques, techniques), des réalisations ou objets destinés à laisser dans le temps une trace durable: c'est par cette forme de travail que s'accomplit le progrès de la culture humaine, que l'homme, en transformant la réalité, se transforme lui-même et se reconnaît, à travers ses oeuvres, comme homme capable de créativité et d'invention, comme homo faber. Ainsi le travail créateur a-t-il une valeur en soi, pour autant qu'il élève l'homme à la conscience de lui-même.

Le travail est apparemment une source principale d'identité et de valeur - ce par quoi il est donné à chacun de se réaliser socialement, mora­lement, personnellement. Or, en réalité, il est un travail aliéné, soumi aux impératifs de la productivité, dans lequel l'homme, loin de s'ac­complir, se déshumanise. Un tel travail ne saurait avoir de valeur autre qu' économique. Toutefois, l'époque moderne révèle que le travail productif, salarié, tend à disparaître. En ce sens, elle invite à réfléchir sur la nécessité de concevoir autrement celui-ci - non plus seulement comme production mais comme création: s'il faut renoncer, en effet, à voir dans le premier la source de toute valeur, il convient de considérer le second comme ayant une valeur en soi, pour autant qu'il révèle à l'homme son propre pouvoir sur la réalité et l'élève à la conscience de lui-même.

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conclusion dissertation sur le travail

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Introduction à la Dissertation sur le Travail : Un Guide Complet

conclusion dissertation sur le travail

Symbols: 7351

Words: 1181

===INTRO:===

Bienvenue dans ce guide complet intitulé "Introduction à la dissertation sur le travail". Cet article vous fournira des informations détaillées pour comprendre le concept du travail, son importance dans la société et comment structurer efficacement une dissertation sur le travail. Vous trouverez également des exemples de dissertations réussies sur le travail pour vous aider à mieux comprendre et à écrire votre propre dissertation. Enfin, nous vous donnerons des conseils utiles sur la façon de résumer efficacement votre argumentation dans la conclusion.

Introduction à la dissertation sur le travail

La dissertation sur le travail est un exercice académique qui consiste à analyser et à discuter de divers aspects liés au travail. Cela peut impliquer d’explorer l’évolution historique du travail, l’impact des changements technologiques sur le travail, les questions de genre et de travail, l’équilibre entre le travail et la vie personnelle, entre autres sujets. Il est important de comprendre que le travail est un concept multidimensionnel qui englobe de nombreux aspects de la vie humaine. Par conséquent, une dissertation sur le travail peut être une tâche complexe qui nécessite une compréhension approfondie du sujet.

Il est essentiel de bien comprendre le sujet pour pouvoir élaborer une argumentation solide et pertinente. Cela signifie qu’avant de commencer à écrire, vous devez faire suffisamment de recherches pour vous familiariser avec les différentes perspectives sur le travail. Il est également important de comprendre les attentes de votre lecteur ou de votre public. Vous devez savoir quel type d’argumentation sera le plus convaincant pour votre lecteur et quel type de preuves sera le plus efficace pour soutenir votre argumentation.

Comprendre le concept du travail

Le travail est un concept complexe qui a plusieurs dimensions. D’un point de vue économique, le travail peut être considéré comme une activité productive qui contribue à la création de valeur et à la croissance économique. D’un point de vue sociologique, le travail peut être vu comme un moyen de participation sociale et de réalisation personnelle. D’un point de vue psychologique, le travail peut être perçu comme une source de satisfaction personnelle et de réalisation de soi.

Il est également important de comprendre que le concept du travail a évolué au fil du temps. Dans le passé, le travail était souvent associé à des activités manuelles et physiques. Cependant, avec l’avancement technologique, le travail est devenu de plus en plus intellectuel et créatif. De plus, le travail n’est plus limité à un lieu ou à un horaire spécifique.

Importance du travail dans la société

Le travail joue un rôle crucial dans la société. Il contribue à la création de richesses et à la croissance économique. Il offre également des opportunités d’emploi et de revenus aux individus, ce qui leur permet d’améliorer leur qualité de vie et leur bien-être. Le travail peut également contribuer à l’épanouissement personnel et à la réalisation de soi. Il peut aider les individus à développer leurs compétences et leurs talents, à réaliser leurs ambitions et à se sentir utiles et valorisés.

De plus, le travail peut favoriser l’intégration sociale et la cohésion sociale. Il peut aider les individus à se sentir connectés à la société et à contribuer à son fonctionnement et à son développement. Il peut également promouvoir l’équité et la justice sociale en offrant des opportunités égales à tous les individus, indépendamment de leur sexe, de leur âge, de leur race ou de leur origine sociale.

Comment structurer une dissertation sur le travail

Une dissertation sur le travail doit être bien structurée pour être efficace et convaincante. Voici quelques conseils sur la façon de structurer votre dissertation. Premièrement, votre dissertation doit avoir une introduction claire qui présente le sujet et indique l’objectif de votre dissertation. Deuxièmement, votre dissertation doit avoir un corps qui développe votre argumentation de manière logique et cohérente. Chaque paragraphe du corps doit traiter un point spécifique lié à votre argumentation.

Troisièmement, votre dissertation doit avoir une conclusion qui résume votre argumentation et souligne les principales conclusions de votre dissertation. Enfin, votre dissertation doit avoir une bibliographie qui liste les sources que vous avez utilisées pour soutenir votre argumentation. Il est également important de citer correctement vos sources pour éviter le plagiat et pour montrer que vous avez fait une recherche sérieuse et rigoureuse.

Exemples de dissertations réussies sur le travail

Pour vous aider à comprendre comment écrire une dissertation réussie sur le travail, voici quelques exemples de dissertations réussies sur le travail. Ces exemples montrent comment les auteurs ont développé une argumentation solide et pertinente, comment ils ont utilisé des preuves pour soutenir leur argumentation, et comment ils ont structuré leur dissertation de manière efficace et convaincante.

Il est important de noter que ces exemples ne sont pas destinés à être copiés. Au contraire, ils sont destinés à vous inspirer et à vous donner des idées sur la façon de structurer et de rédiger votre propre dissertation. Ils peuvent également vous aider à comprendre les attentes de votre lecteur ou de votre public et à adapter votre argumentation en conséquence.

Conclusion: Résumer efficacement votre argumentation

La conclusion est une partie cruciale de votre dissertation. Elle doit résumer votre argumentation et souligner les principales conclusions de votre dissertation. Elle doit également donner à votre lecteur une impression finale positive et convaincante de votre travail. Voici quelques conseils sur la façon de résumer efficacement votre argumentation. Premièrement, vous devez récapituler les points principaux de votre argumentation de manière concise et claire. Deuxièmement, vous devez souligner les implications de votre argumentation et montrer pourquoi elle est importante et pertinente.

Enfin, vous devez donner à votre lecteur une idée de ce qu’il pourrait faire ou penser après avoir lu votre dissertation. Par exemple, vous pourriez suggérer des questions de recherche futures, des actions pratiques ou des changements de politique. En résumant efficacement votre argumentation, vous pouvez laisser une impression durable sur votre lecteur et faire en sorte que votre dissertation soit mémorable et impactante.

===OUTRO:===

En conclusion, la dissertation sur le travail est un exercice académique complexe qui nécessite une compréhension approfondie du sujet. Cet article vous a fourni un guide complet sur comment comprendre le concept du travail, son importance dans la société, et comment structurer efficacement une dissertation sur le travail. En suivant ces conseils et en examinant les exemples de dissertations réussies sur le travail, vous serez mieux préparé pour rédiger votre propre dissertation sur le travail. Bonne chance dans votre voyage académique !

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Le travail - dissertations de philosophie

  • A quelles conditions une activité est-elle un travail ?
  • A-t-on toujours intérêt à travailler ?
  • Ce que l'homme accomplit par son travail peut-il se retourner contre lui ?
  • Doit-on opposer le travail au loisir ?
  • Est-ce la nécessité qui pousse l'homme à travailler ?
  • Faut-il craindre les machines ?
  • Faut-il redouter les machines ?
  • Faut-il renoncer à faire du travail une valeur ?
  • Gagne t-on sa vie en travaillant ?
  • La dignité humaine dépend-elle d'un travail ?
  • Le travail dénature t-il l'homme ?
  • Le travail divise t-il les hommes ?
  • Le travail est-ce la santé ?
  • Le travail est-il libérateur ?
  • Le travail n'est-il qu'une contrainte ?

Travailler est-il un devoir ?

phiT_1409_07_01C

France métropolitaine • Septembre 2014

dissertation • Série S

Définir les termes du sujet

Ce verbe désigne l'activité de transformer la nature pour la rendre utile à l'homme, pour qu'il puisse assurer ses besoins . Cela ramène l'homme soit à son animalité, puisque c'est une nécessité vitale, soit à son humanité, puisque cela permet d'exprimer son intelligence et sa créativité.

Ce terme désigne, au sens large, une obligation définie et souvent propre à une fonction, comme par exemple le devoir de réserve du fonctionnaire.

Au sens strict, le devoir désigne l'obligation morale avec laquelle on s'impose volontairement à soi-même de faire le bien par opposition à une contrainte qui serait imposée de l'extérieur.

Dégager la problématique du sujet et construire un plan

La problématique.

  • Le sujet demande si travailler peut être considéré comme un devoir. Si l'on part du constat qu'il n'y a pas le choix, il faut bien travailler pour vivre, alors le travail est un devoir au sens large (et non celui retenu en philosophie), une nécessité qui s'impose à l'homme sous forme de contrainte . Mais ce serait négliger la part de créativité et d'intelligence que l'homme met en œuvre lorsqu'il travaille.
  • S'il doit travailler, il peut néanmoins choisir sa manière de travailler. C'est alors volontairement qu'il détermine sa manière d'agir. Le travail rejoint ici l'idée de devoir au sens restreint, obligation envers soi-même (réaliser ce qu'il y a de meilleur en nous) et obligation sociale (souci de solidarité avec les autres) et même obligation morale dans la mesure où, en tant qu'êtres dotés d'une raison, on se doit d'atteindre une destination morale. Mais si travailler renvoie à ce qu'il y a de plus humain en nous, travailler ne se rapprocherait-il pas plus du désir que du devoir ?

La dissertation peut être traitée en trois parties : travailler est une contrainte (et non un devoir au sens philosophique), une obligation (et donc un devoir), un désir (autre chose qu'un devoir).

Éviter les erreurs

Le sujet met en relation deux chapitres du programme. Il faut considérer les différentes facettes du travail, comme celles du devoir. Il ne faut pas considérer le devoir uniquement dans son sens restreint philosophique d'obligation morale. Le repère obligation / contrainte doit être maîtrisé. Le sujet invite également à mobiliser des connaissances sur le désir, la conscience, la politique ou l'art.

Les titres en couleur servent à guider la lecture et ne doivent en aucun cas figurer sur la copie.

Introduction

Il faut bien travailler pour vivre. Ce constat ramène le travail à l'état de contrainte à laquelle il faut répondre. Pourtant lorsque l'on travaille, on choisit ce que l'on fait et comment on le fait. Le travail en ce sens s'impose plus à moi par ma propre volonté , il se définit davantage comme obligation . Le travail est-il alors un devoir ?

Le plan ici est présenté en filigrane de la problématique.

Ou bien l'on considère le travail comme une contrainte à laquelle on ne peut qu'espérer échapper et de ce fait il n'est pas un devoir, ou bien l'on considère le travail comme une obligation envers soi-même mais aussi envers la société et, en ce sens, il peut se définir comme devoir. Mais le travail ne serait-il pas envisageable indépendamment d'une règle sociale ou morale universelle dans la mesure où il peut être aussi le fruit d'un désir individuel ?

1. Travailler est une contrainte

A. travailler est une contrainte biologique, une nécessité vitale.

Le travail apparaît comme une contrainte qui s'impose comme une fatalité. La tradition biblique, selon Arendt, fait de la pénibilité du travail une malédiction qui frappe l'humanité. Il s'agit en travaillant de transformer la nature pour la rendre utile à l'homme, pour répondre à ses besoins vitaux . Le travail est une médiation nécessaire entre l'homme et la nature pour œuvrer à la culture. L'économie elle-même se divise en trois secteurs (primaire, secondaire, tertiaire), selon son degré de transformation de la nature.

B. Travailler n'est pas un devoir

Dès lors travailler ne peut être considéré comme un devoir car un devoir présuppose qu'on ait le choix de ne pas travailler , que l'on puisse échapper à cette nécessité. L'obéissance à une nécessité n'est pas un devoir, selon Rousseau dans le Contrat social . Or, le devoir n'a de sens que si je suis libre de m'y refuser.

[Transition] Si travailler n'est qu'une contrainte pour vivre, comment ne pas vouloir y échapper en rêvant de se procurer les fruits du travail sans en produire les efforts comme l'imaginent les joueurs de loto par exemple ? Mais vouloir gagner sa vie sans rien faire n'est-ce pas oublier que l'on vit dans une société qui organise aussi les conditions de toute vie ? N'y a-t-il pas un devoir moral de travailler solidairement à la société dans laquelle on s'inscrit ?

2. Travailler est une obligation

A. travailler est une obligation sociale.

L'homme ne cherche pas seulement à survivre mais aussi à bien vivre. Pour subvenir efficacement à ses besoins vitaux, mais aussi à des besoins plus culturels , les hommes s'assemblent et par leurs échanges régulés de services et de biens, se construisent une société.

Ainsi, un individu est aussi un être social car il appartient de fait à une société. Celle-ci s'organise, selon Platon dans République , II, par une division du travail selon des critères humains de complémentarité des compétences et de multiplicités des besoins.

B. En ce sens travailler est aussi un devoir moral

Il s'agit du célèbre impératif catégorique de Kant qui stipule que la loi morale s'énonce ainsi : « Agis comme si la maxime de ton action devait être érigée par ta volonté en loi universelle de la nature ».

Si l'homme pouvait profiter des fruits de ce travail collectif sans travailler lui-même alors il se conduirait de manière non seulement non solidaire mais aussi immorale dans la mesure où, selon la définition de Kant de la loi morale, la maxime de son action ne pourrait être universalisable sous peine de mener la société à se propre perte.

Kant voit même dans l'histoire de l'humanité un long développement de la raison humaine qui tire tout d'elle-même pour réaliser son essence morale.

C. Travailler permet de se réaliser. C'est une obligation envers soi-même

Mais travailler est un devoir moral, non seulement envers autrui mais aussi envers soi-même. En effet, travailler n'est pas seulement répondre à ses besoins vitaux, c'est aussi réaliser ce qu'il y a de plus humain en l'homme. Pour Hegel, le travail, comme possibilité de marquer la nature par son ingéniosité , est une manière de prendre conscience de soi , de réaliser sa propre essence. Le travailleur n'est pas qu' animal laborans mais homo faber .

[Transition] Ainsi, travailler ne fait pas qu'obéir à une nécessité animale, une contrainte. C'est aussi un devoir, une volonté qui fait l'effort de réaliser l'essence sociale et individuelle de l'homme. Mais travailler est-il toujours l'expression d'une volonté raisonnable ?

3. Travailler peut être un désir

A. travailler n'est pas toujours une obligation.

Si le travail peut être considéré comme un devoir cela signifie qu'il est bien d'une part le fruit d'un choix, d'une volonté qui s'exerce librement, et d'autre part il est ce qui amène l'homme à fournir des efforts pour s'imposer à soi-même quelque chose qu'il juge nécessaire. Or, travailler ne fait pas toujours l'objet d'un mécontentement, c'est même une revendication puisqu'il existe un droit au travail.

Le travail peut désigner l'activité que l'on souhaite accomplir parce qu'elle correspond à nos aspirations . Le loisir n'est pas toujours le contraire du travail. Il exige même parfois une forme de travail (le musicien amateur fait ses gammes, le bricoleur du dimanche bricole…). Et quand cette activité peut coïncider avec un engagement professionnel, on parle alors de vocation .

B. Travailler peut être un désir lorsqu'il est créatif comme chez l'artiste

Si le travail est, selon Hegel dans Esthétique , l'expression de l'essence de l'homme dans ce qu'il a de plus singulier, sa créativité, son intelligence, sa liberté, alors le travail trouve sa forme la plus aboutie d'expression de la culture de l'homme dans la création artistique .

En effet, l'art est à la fois l'expression d'une singularité , d'un individu, puisqu'une œuvre est par définition « originale » et, en même temps, l'œuvre se fait de manière désintéressée , comme fin en soi, et non comme moyen en vue d'une autre fin.

C. Travailler peut être l'instrument de l'émancipation quand il n'y a pas d'exploitation

Attention !

On aurait pu faire aussi toute une partie sur le fait qu'un travail peut être aliénant indépendamment de la volonté individuelle, de son désir, mais en raison d'une structure sociale injuste en reprenant les analyses de Marx sur l'exploitation économique.

Dès lors le travail, s'il est volontaire et s'il correspond à un désir , peut être l'instrument d'une émancipation face aux déterminismes, aux normes sociales, ou encore face à sa propre histoire avec le travail du patient en psychanalyse par exemple. Ce qui présuppose évidemment que le désir ne soit pas contrarié par une structure sociale aliénante produite par une société injuste qui exploite le travailleur.

Ainsi, on a pu voir que le travail considéré comme labeur est une nécessité, une contrainte et non un devoir. Il ne peut être envisagé comme devoir , c'est-à-dire comme activité que l'on s'impose librement à soi-même, que s'il est l' expression de l'intelligence et de la volonté de l'homme. Travailler devient alors un devoir de l'homme envers autrui et envers lui-même.

Au-delà de cette conception morale du travail, l'idée d'un devoir de travailler peut masquer soit une exploitation du travailleur qui ne peut être voulue par lui, soit à l'opposé, le fait que le travail ne soit pas toujours chargé de pénibilité mais peut faire l'objet d'un véritable désir .

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  • Annexe 4 - Liens URL et DOI
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L'introduction

L’introduction, qui dégage la logique du plan, est une présentation du sujet : elle doit l’amener et le poser, avant de le diviser. Dans le cas d’un mémoire ou d’une thèse, elle comporte en outre une hypothèse de recherche, un état de la question traitée, les objectifs de la recherche, le plan suivi et la méthodologie utilisée. L’introduction représente environ 10 % de la longueur totale du travail.

Un plan bien défini facilite la rédaction du travail de recherche et assure une progression cohérente.

Le corps du travail

Le corps du travail est la partie fondamentale du travail de recherche. Le sujet de la recherche proprement dite y est développé chapitre par chapitre (mémoires ou thèses), paragraphe par paragraphe (travaux de 1 er  cycle), ou selon l’ordre établi dans la table des matières. On doit y retrouver la discussion et la vérification de l’hypothèse de recherche. Chaque chapitre ou paragraphe est articulé autour d’une idée principale. Chaque chapitre doit comporter une introduction et une conclusion, tout comme l’ensemble du travail.

Pour construire une argumentation solide, une documentation étoffée est toujours un atout.

La conclusion

Il est essentiel que le lecteur soit en mesure d’établir le lien entre la problématique et les résultats obtenus. La conclusion est à la fois un résumé des grandes lignes et des phases essentielles de la recherche et un bilan des principaux points traités (une synthèse des résultats obtenus). L’auteur y propose des solutions et peut ouvrir des perspectives nouvelles qui permettraient la poursuite de la recherche. La conclusion représente environ 10 % de la longueur totale du travail.

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  • Dernière mise à jour: Oct 5, 2023 1:44 PM

Citations philosophiques et sujets de dissertation sur le travail

Citations sur le travail.

« Dans le travail, l’occupation n’est pas en elle-même agréable, mais c’est dans un autre but qu’on l’entreprend. En revanche l’occupation dans un jeu est en elle-même agréable, sans qu’il soit besoin de plus de se proposer un but ».

« Il n’est pas de punition plus terrible que le travail inutile et sans espoir ».

Albert Camus

« Je n'ai jamais été heureux, je le sais, ni pacifié, que dans un métier digne de moi, un travail mené au milieu d'hommes que je puisse aimer. Je sais aussi que beaucoup, sur ce point, me ressemblent. Sans travail, toute vie pourrit. Mais sous un travail sans âme, la vie étouffe, et meurt. N'est-ce pas alors le véritable effort d'une nation de faire le plus possible que ses citoyens aient le riche sentiment de faire leur vrai métier, et d'être utiles à la place où ils sont ? ».

Albert Camus ,Le Mythe de Sisyphe, Gallimard, 1942.

« Il n'y a pas de dignité possible, pas de vie réelle pour un homme qui travaille douze heures par jour sans savoir pourquoi il travaille ».

Malraux, L’express, 1955

« Le plaisir dans le métier met la perfection dans le travail ».

« La croyance dans le caractère vertueux du travail cause un immense tort ».

Bertrand Russel

« Ceux qui prétendent réussir sans travailler sont des menteurs. Rien n'est hors de portée du travail, absolument rien »

Jacques Attali  

« Le travail, c'est la santé... Mais à quoi sert alors la médecine du travail ? »

« Le travail est pour les hommes un trésor. »

« Je ne crois pas au génie, seulement au dur travail. »

Michel Petrucciani

« Je n’aime pas le travail, nul ne l’aime ; mais j’aime ce qui est dans le travail l’occasion de se découvrir  soi-même. »

Joseph Conrad

« La peur de l’ennui est la seule excuse du travail. »

Ernest Renan

« Un travail est fini, un autre aussitôt commence »  

Alphonse de Lamartine 

« Nous travaillons pour transformer l’herbe folle en blé puis en pain, les merises en cerises et les cailloux en acier puis en automobiles »

Jean Fourastié

« C'est par le travail que l'homme se transforme. »

Louis Aragon

« Le travail éloigne de nous trois grands maux : l’ennui, le vice et le besoin. »

« Le travail : une malédiction que l'homme a transformée en volupté. »

Emil Michel Cioran

« Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie. »

« Le travail, c'est le refuge des gens qui n'ont rien de mieux à faire. »

Oscar Wilde

« L'esclavage humain a atteint son point culminant à notre époque sous forme de travail librement salarié. »

George Bernard Shaw

« Le travail du corps délivre des peines de l'esprit et c'est ce qui rend les pauvres heureux. »

François de La Rochefoucauld

« L'oisiveté est, dit-on, la mère de tous les vices, mais l'excès de travail est le père de toutes les  soumissions. »

Albert Jacquard

« La suprême récompense du travail n'est pas ce qu'il vous permet de gagner, mais ce qu'il vous permet de  devenir. »

John Ruskin

« Le propre du travail, c'est d'être forcé. »

« A chaque minute nous sommes écrasés par l'idée et la sensation du temps. Et il n'y a que deux moyens  pour échapper à ce cauchemar : le plaisir et le travail. Le plaisir nous use. Le travail nous fortifie.  Choisissons. »

Charles Baudelaire

« Notre âme est une bête féroce ; toujours affamée, il faut la gorger jusqu'à la gueule pour qu'elle ne se  jette pas sur nous. Rien n'apaise plus qu'un long travail. »

Gustave Flaubert

« Les économistes ont raison, disait un homme de Bourse : le capital est du travail accumulé. Seulement,  comme on ne peut pas tout faire, ce sont les uns qui travaillent et les autres qui accumulent. »

Auguste Detoeuf

« Le travail utile est par lui-même un plaisir; par lui-même, et non par les avantages qu'on en retirera. »

« L'ouvrier est à l'égard du produit de son travail dans le même rapport qu'à l'égard d'un objet étranger. »

« Pour échapper à l'ennui, l'homme, ou bien travaille au-delà de ce qu'exigent ses besoins normaux, ou  bien il invente le jeu, c'est-à-dire le travail qui n'est plus destiné à satisfaire aucun autre besoin  que celui du travail pour lui-même. »

« Le vrai travail est avec l'homme ; c'est le travail des champs et des jardins, les heureux échanges formés  sous le regard, et la division du travail, mais non point poussée jusqu'à la division des hommes.  »

« C'est par le travail que la femme a en grande partie franchi la distance qui la séparait du mâle ».

Simone de Beauvoir

« L'oisiveté pèse aux races laborieuses. Ce fut un coup de maître de l'instinct anglais de faire du dimanche  une journée si sainte et si ennuyeuse, que l'Anglais en vient, à son insu, à désirer le retour des  jours de semaine et de travail ».

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Corrigé d'une dissertation de philosophie sur le travail et la liberté à télécharger. Le sujet était : Travailler rend-il libre ?

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Extrait de la dissertation :, sommaire du document :, i) le travail comme une aliénation, ii) le travail est une source de liberté, iii) le travail permet le bonheur :, liste des avis.

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  • Comment faire une conclusion ?
  • La dissertation : méthode et exemple de conclusion
  • Commentaire de texte - commentaire composé : méthode et exemple de conclusion

Trop souvent négligée et perçue comme peu importante, la conclusion d’un commentaire de texte ou d’une dissertation de philo a pour objectif de récapituler le raisonnement que tu as développé dans ta copie. Autrement dit, de faire un bilan. Dans l’idéal, tout cela ne doit pas te prendre plus d’une quinzaine de minutes. Attention cependant à ne pas bâcler cette dernière étape, car c’est le dernier souvenir que tu laisses à ton correcteur. Connecteurs logiques, réponse à la problématique et ouverture : GoStudent te guide pas à pas pour faire une bonne conclusion qui te fera gagner des points !

Rédaction d'une conclusion

1 - Comment faire une conclusion ?

Quelles sont les parties d'une conclusion  .

La conclusion comporte généralement trois parties :

1 - Le récapitulatif des idées principales que tu as développées dans les deux ou trois grandes parties de ta rédaction.

Imagine que tu sois au lycée et que tu doives rédiger la conclusion d’un commentaire composé sur un extrait du livre Les Misérables , de Victor Hugo . La première partie de ta conclusion pourrait ressembler à ceci :

« Après avoir montré comment Victor Hugo utilise de nombreuses figures de style dans ses descriptions de la réalité historique, nous avons vu que ce procédé littéraire contribue à transformer les représentations du lecteur. » 

À lire aussi : Le top 5 des livres pour ados

2 - Dans un second temps, il faut répondre à la problématique que tu as soulevée dans l’introduction.

Pour rappel, la problématique est l’idée générale, l’idée directrice qui sert de fil conducteur à toute ta rédaction et à partir de laquelle tu construis ton argumentation. Pour réussir une dissertation ou un commentaire de texte, chaque paragraphe rédigé dans tes différentes parties doit répondre progressivement à la problématique. Sinon c’est le hors-sujet. ⛔️

Dans l'introduction notre problématique est la suivante : 

« Nous nous demanderons si l’auteur se contente de faire le récit de la réalité ou s’il fait exister sa propre vision grâce à sa gestion des procédés narratifs.  » 

Dans la conclusion nous pourrions dire :

« Il apparaît donc clairement que l’essentiel, pour Victor Hugo, n’est pas de décrire la réalité historique, mais d’encourager une transformation de la société en entraînant une prise de conscience des injustices sociales. » 

Si tu ne vois pas bien comment introduire la problématique, je t’invite à lire notre article qui t’explique en détail comment réussir une introduction en dissertation .

3 - Dans un dernier temps, tu dois rédiger une phrase finale d’ouverture . Nous en parlerons plus en détail dans le prochain paragraphe.

Comment commencer une conclusion ?

Maintenant que tu sais que la première partie d’une conclusion parfaite consiste à dégager les idées principales de ton travail, tu te demandes peut-être comment commencer. 

En vérité, c’est très simple. Il y a plein de tournures que les professeurs aiment beaucoup. Voici quelques exemples :

  • Tout au long de ce travail, nous avons montré que l’auteur cherche à ……. puis nous avons vu comment ….. enfin, nous pouvons dire que …….
  • Dans un premier temps nous avons examiné la façon dont l’auteur ….. Dans un second temps ….. Dans une dernière partie ….. 
  • Dans la première partie de notre travail, nous avons montré comment ….. Par la suite, il est apparu que l’auteur …… 
  • Comme nous l’avons vu dans un premier temps, Victor Hugo ….. de plus, nous avons montré que l’utilisation des figures de style…. Enfin …..

Tu vois que l’essentiel est de rendre la lecture fluide en utilisant des connecteurs logiques : « enfin, puis, dans un second temps, par la suite »

Qu'est qu'une ouverture dans une conclusion ?

Franchement, à quoi sert l’ouverture ? À donner un petit côté intello à ton travail et à montrer ta culture générale . Les profs adorent ça. Cet « élargissement » est tout simplement une nouvelle question que tu te poses à la fin de ton travail. 

Concrètement, vois l’ouverture comme si tu donnais une nouvelle idée de sujet de dissertation à ton prof.

Revenons à notre Victor Hugo. Après avoir résumé ton travail et répondu à la problématique, tu peux élargir le sujet en posant la question suivante :

« Nous présenter une nouvelle vision du monde qui nous touche et nous fait réfléchir, n’est-ce pas justement l’intérêt de la littérature ?  » 

Le prof sera content et il pourra même en faire un sujet pour son prochain devoir. 👍

2 - La dissertation : méthode et exemple de conclusion

Comment faire une conclusion de dissertation .

Qu’il s’agisse d’une rédaction de niveau collège en histoire-géographie, d’un essai au Bac de français ou de la conclusion d’une dissertation de philo en terminale, la méthodologie est la même. Seuls changent le nombre de mots et la qualité du style d’écriture.

À lire aussi : Comment rédiger un essai parfaitement ?

La mise en forme est importante. Il faut sauter au moins deux lignes entre la fin de ta dernière partie et le début de ta conclusion. Les trois paragraphes de ta conclusion doivent être visibles. Il faut revenir à la ligne entre chacun d’entre eux et essayer de faire des transitions pour soigner la formulation et retenir l’attention du lecteur. 👨‍🏫

Comme pour l’intro, le mieux est de commencer au brouillon et de prendre le temps de la relecture. La qualité de l’expression écrite est importante, il faut donc éviter les fautes d'inattention ! 

Exemple de conclusion dissertation de philo

Sujet : Être libre, cela signifie-t-il faire tout ce que l’on veut ?

1 - Bilan récapitulatif et principaux mots-clés :

« Comme nous l’avons montré dans un premier point, la vision humaniste des penseurs de la renaissance décrit l’homme comme un individu libre, grâce à sa raison et à sa faculté de jugement. Par opposition à une vision religieuse, ce libre-arbitre le rend responsable de ses actes et de son destin, ce que nous avons abordé dans un second temps. Cependant, la psychologie montre que l’Homme obéit aussi à des causes qui échappent à sa volonté(l’inconscient, les normes sociales, etc.)  »

2 - Réponse à la problématique : 

« La capacité à prendre des décisions librement semble donc être une illusion. Cela pose donc la question de la responsabilité individuelle lorsqu’un individu est jugé coupable d’actes illégaux ou immoraux .   »

3 - Ouverture : 

« Ainsi, on pourrait se poser la question de savoir dans quelle mesure il est possible de concilier justice et liberté. La loi n’est-elle pas une entrave à la liberté de chacun ? »

Exemple de conclusion dissertation français

Selon le sujet, la dissertation de français peut suivre plusieurs types de plans :

  • Un plan dialectique (à éviter généralement) : thèse / antithèse / synthèse.
  • Un plan analytique : description et explication d’une situation, analyse des causes et des conséquences.
  • Un plan thématique (le meilleur) : il s'agit de développer une argumentation pour répondre progressivement à la question.

Attention, la conclusion de ta dissertation doit reprendre la même structure que ton plan. ⚠️

Sujet : La poésie de Guillaume Apollinaire s’invente-t-elle en rejetant le passé ?

« Nous avons vu qu’Apollinaire s'affranchit des règles de la poésie classique, aussi bien à travers l’absence de ponctuation que par la modernité du choix de ses sujets poétiques. Cependant, nous avons vu qu’il maintient l’usage traditionnel des quatrains. Cela semble indiquer une alliance entre l’ancien et le nouveau.  »

« Plus qu’une rupture radicale avec le passé, Apollinaire semble explorer de nouveaux horizons poétiques sans pour autant abandonner l'héritage des anciennes formes lyriques.   »

« Ne devrait-on pas considérer l'œuvre de Rimbaud comme étant celle qui ouvre résolument le chemin de la modernité ? »

3 - Commentaire de texte - commentaire composé : méthode et exemple de conclusion

Comment faire la conclusion d’un commentaire .

Le commentaire de texte, en philo ou en français est un exercice différent de la dissertation. 

Le but est de mobiliser tout le vocabulaire littéraire spécifique que tu connais pour décrire la langue utilisée par l’auteur (métaphore, hyperbole, oxymore, figures de style, etc.). Sans faire de paraphrase, tu dois expliquer comment l’auteur s’y prend pour produire des effets sur le lecteur.

À lire aussi : Le succès des métaphores  

Le fond et la forme sont donc indissociables. Il faut justement montrer comment la forme joue sur le fond. C’est-à-dire quels sont les procédés littéraires et comment le style de l’auteur impacte le lecteur.

Comme pour une composition d’histoire, la conclusion du commentaire de texte (conclusion commentaire composé) s’appuie sur l’analyse de l’extrait étudié.

Exemple conclusion commentaire de texte 

Sujet : Georges PEREC (1936-1982), Les Choses (1965)  – extrait du chapitre 2

« Dans un premier temps, nous avons étudié comment le cadre et le décor (meubles, décoration, lieu de vie) fonctionnent comme un révélateur des personnages. Puis nous avons vu que l’emploi des déterminants possessifs montre que les personnages sont possédés par leur appartement et non l’inverse. Enfin, le rythme des phrases et l’usage du conditionnel insistent sur l’étendue des possibles. »

« L’ouvrage de cet auteur reprend donc les codes du genre romanesque tout en y ajoutant une écriture poétique qui sculpte l’image des personnages.   »

« Cette manière de poser un cadre qui semble doté d’une individualité propre et qui agit en retour sur les personnages n’est-elle pas influencée par l’écume des jours, de Boris Vian et le monde fictif qu’il y décrit ? » 

Et si tu te demandes comment rédiger une conclusion de TPE , et bien tu peux appliquer exactement la même méthode ! 

Quoi qu’il arrive, n’hésite pas à t’entraîner sur des Annabac et à faire appel à nos professeurs particuliers . Ils sont à ton service pour te donner les conseils méthodologiques dont tu as besoin et pour t'aider à rédiger une conclusion parfaite . Il te suffit de laisser ton nom, ton prénom et ton adresse mail pour profiter d’une première leçon gratuite !

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  • Repenser le statut du travail
  • Conclusion. Concilier enracinement...

conclusion dissertation sur le travail

  • Conclusion. Concilier enracinement et ouverture
  • Suivre cet auteur Ousmane Oumarou Sidibé
  • Dans Repenser le statut du travail (2023) , pages 237 à 243

Dans Race et histoire, Claude Lévi-Strauss indique l’importance de la diversité des cultures, sans laquelle l’humanité serait menacée de stagnation et d’épuisement. Pour lui, les relations entre les sociétés se caractérisent par une double tension entre les affinités et la convergence d’une part, et le particularisme d’autre part. Les cultures s’éteignent autant par l’isolement que par l’unification complète. L’idée d’un choc des civilisations défendue par Samuel Phillips Huntington apparaît donc comme pernicieuse, en ce qu’elle induit un affrontement entre les cultures dans un combat de leadership, alors qu’une coexistence pacifique fondée sur le dialogue et l’enrichissement mutuel est possible. L’emprunt est consubstantiel aux sociétés humaines, qui s’inspirent assez naturellement les unes des autres, pour résoudre les défis auxquelles elles sont confrontées. Le Brésil, une ancienne colonie portugaise, s’est plutôt tourné vers un fédéralisme de type américain pour bâtir son droit constitutionnel, probablement à cause des similitudes territoriales et des contextes socio-historiques. Après les indépendances, les pays d’Afrique anglophone ont pour la plupart progressivement délaissé le parlementarisme de type britannique pour emprunter un présidentialisme inspiré du droit constitutionnel américain, sans doute pour des soucis de stabilité institutionnelle. À l’inverse, les pays francophones se sont accommodés de la Constitution française de 1958, peut-être par mimétisme, mais plus fondamentalement parce qu’elle leur garantit une stabilité institutionnelle…

conclusion dissertation sur le travail

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  • Éditions de l'Atelier, 2023

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conclusion dissertation sur le travail

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La conclusion : une fin réussie

Publié le 1 juillet 2020 par Agathe Costes .

Le terme conclusion peut avoir différentes significations qui restent toutefois proches. Dans le cadre qui nous intéresse, une conclusion est une partie terminant un document . Elle permet généralement d’énoncer une forme de bilan, de conséquence ou de morale du texte qui la précède.

Une conclusion peut apparaître dans différents documents :

  • un roman ;
  • un essai ;
  • une dissertation  ;
  • un écrit académique ( rapport de stage , mémoire , thèse ) ;
  • un compte rendu ;
  • un document juridique, etc.

Cet article présente spécifiquement la conclusion dans la dissertation et les écrits académiques.

Table des matières

Réussir sa conclusion, la conclusion dans les dissertations, la conclusion dans les rapports de stage, mémoires et thèses.

Au même titre que l’introduction, la conclusion représente une partie essentielle d’un document. Pour qu’un document donne l’impression d’être réussi, sa fin doit impérativement l’être.

Pour écrire une conclusion satisfaisante, il est nécessaire de :

  • reprendre correctement les différentes parties formant la conclusion ;
  • établir un raisonnement logique , appuyé par les recherches menées dans le développement ;
  • respecter le style académique universitaire (écrire avec clarté, précision, concision, neutralité et cohérence).

Vous devrez ainsi éviter les fautes, les répétitions, les redondances, l’emphase, les idées toutes faites, ainsi que le manque de clarté et de logique.

Nous vous détaillons dans les parties ci-dessous les éléments à intégrer dans une conclusion en fonction du type de document présenté : dissertation, rapport de stage, mémoire et thèse de doctorat.

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La  conclusion dans la dissertation doit répondre à la problématique posée dans l’introduction du document et proposer une perspective d’ouverture par rapport au sujet abordé.

Elle se compose :

  • d’un rappel de la problématique ;
  • d’un bilan des arguments des parties du développement ;
  • de la réponse à la problématique de l’introduction ;
  • d’une proposition d’ouverture sur le sujet abordé.

Exemple de conclusion de dissertation

Sujet : « En quoi peut-on dire que l’objet ordinaire diffère de l’oeuvre d’art ? »

Nous avons donc tout d’abord montré que les oeuvres d’art et les objets ordinaires pouvaient, au premier abord, sembler identiques du fait de leur apparente production artificielle qui impliquerait l’utilisation de la main ainsi que la présence de travail, et que ces deux éléments constitueraient des imitations imparfaites.

Cependant, si l’on débute une réflexion plus profonde dans la compréhension de l’oeuvre et de l’objet, on s’aperçoit que la création d’une oeuvre d’art provient de l’existence d’un don mystique qui crée des règles spontanément, ce qui permet à l’artiste de fabriquer des oeuvres innovantes et intéressantes.

Au terme de cette étude, il apparaît donc que l’oeuvre d’art et l’objet ordinaire sont des éléments qui diffèrent l’un de l’autre, en raison de la présence d’apports chez l’oeuvre d’art, qui sont inexistants chez les objets ordinaires. Ainsi, les objets d’art sont bien plus que de simples imitations, il s’agit d’éléments qui possèdent du mystère dans leur création, ainsi qu’un apport innovateur dans leur l’expression. Il existe d’ailleurs, une spontanéité dans leur création, qui est absente dans la fabrication d’objets du quotidien.

Par ailleurs, d’après le philosophe Bergson, l’art nous fait voir le monde autrement, alors que les choses ordinaires nous montrent uniquement l’utilité pratique des objets. En effet, selon ce philosophe « lorsque nous voyons un objet d’habitude, nous ne le voyons pas ».

Les caractéristiques de la conclusion pouvant légèrement varier selon le support, nous vous présentons ci-dessous un tableau récapitulatif pour chaque écrit.

ISO 690 FR SIDIBé Ousmane Oumarou, « Conclusion. Concilier enracinement et ouverture », dans : , , sous la direction de SIDIBé Ousmane Oumarou. Éditions de l'Atelier, « Hors collection », 2023, p. 237-243. URL : https://www.cairn.info/repenser-le-statut-du-travail--9782708254190-page-237.htm
MLA FR Sidibé, Ousmane Oumarou. « Conclusion. Concilier enracinement et ouverture », , , sous la direction de Sidibé Ousmane Oumarou. Éditions de l'Atelier, 2023, pp. 237-243.
APA FR Sidibé, O. (2023). Conclusion. Concilier enracinement et ouverture. Dans : , O. Sidibé, (pp. 237-243). Éditions de l'Atelier.
Elle est positionnée après le développement et avant la bibliographie et les annexes. Elle se situe après le développement et avant les recommandations, la postface, la bibliographie et les annexes. Elle se place après l’analyse des résultats de recherche et avant la bibliographie et les annexes.
Une page suffit généralement. La conclusion ne doit pas dépasser deux pages. Elle contient 200 à 400 mots. Elle mesure approximativement entre 10 et 30 pages.
.

Langage soutenu respectant les caractéristiques suivantes :

Langage soutenu respectant les caractéristiques suivantes :

Langage soutenu respectant les caractéristiques suivantes :

Exemple de conclusion d’un rapport de stage

Pour conclure, j’ai effectué mon stage de fin d’études de master en marketing international, en tant que manager pour le marché français au sein de l’entreprise Sparlox à Londres. Lors de ce stage de six mois, j’ai pu mettre en pratique mes connaissances théoriques acquises durant ma formation à l’université de Paris I, tout en étant confronté aux difficultés réelles du monde du travail et du management d’équipes.

Après ma rapide intégration au sein de l’entreprise, j’ai eu l’occasion de réaliser plusieurs missions en marketing et de développer des stratégies d’implantation à l’international.

Ce stage a été très enrichissant pour moi, car il m’a permis de découvrir le domaine de l’agroalimentaire, ses acteurs et ses contraintes. Il m’a permis de participer concrètement à ses enjeux au travers mes missions en management de projet, marketing et organisation d’événements. Ce stage m’a aussi fait comprendre que les missions administratives n’étaient pas les plus adaptées à mon profil et que les missions internationales me passionnaient le plus. Je préfère ainsi m’orienter vers un poste lié à la gestion de projet à l’international.

Cette expérience m’a permis de répondre aux questionnements que j’avais en ce qui concerne les moyens utilisés par les entreprises pour s’adapter au changement de leur environnement. L’entreprise qui m’a accueilli pendant ce stage faisait face à une période charnière, et je suis très fier d’y avoir contribué. L’évolution des usages et l’adaptation de l’entreprise au changement de son environnement m’ont permis de comprendre l’importance des enjeux économiques dans la définition des stratégies à adopter.

À la fin de mon stage, l’entreprise a décidé d’ouvrir un bureau en Chine et de pénétrer le marché pour les produits laitiers. Cette nouvelle démarche met en exergue l’importance pour une entreprise de chercher des débouchés dans les pays émergents.

Exemple de conclusion d’un mémoire

Ce mémoire avait pour ambition de mesurer l’autorité du texte de Jean-Paul Sartre « Orphée noir », préface à l’Anthologie de la nouvelle poésie nègre et malgache de langue française, en se demandant si « Orphée noir » constitue à la fois une préface, une œuvre littéraire, et un manifeste de la négritude.

Il a fallu dans un premier temps définir la notion même d’autorité d’un texte, examiner les caractéristiques inhérentes au texte et ne sélectionner que les plus pertinentes.

Au moyen de l’analyse lexicométrique grâce au logiciel Tropes, de l’analyse du discours plus régulièrement, mais aussi de l’histoire littéraire, il a été possible de se lancer dans ce travail minutieux. Ainsi, les spécificités énonciatives, telles que la mise en scène de la préface et la présence des guillemets, dénotaient une volonté de créer un discours préfaciel inédit.

Il convenait alors de s’intéresser à la réception de la préface. Un parti fort a été adopté dans cette dernière étape, celui de rechercher, sans vraiment sélectionner, quelques manifestations d’opinions à l’égard d' »Orphée noir », et de confronter les différents points de vue apparaissant dans ces articles. L’échantillon laissait entrevoir des disparités dans la façon de se représenter le texte, selon les auteurs, et donner matière à l’analyse.

L’idée selon laquelle « Orphée noir » a fait, et fait toujours autorité en tant que préface, œuvre littéraire et manifeste de la négritude, mérite d’être modérée. Comme le dit si justement Frantz Fanon, « Orphée noir « est » une date dans l’intellectualisation de l’exister noir”. Première réelle tentative de théorisation de la négritude, la préface est symbolique car elle marque un tournant majeur. Dès lors, de nouveaux débats intellectuels sont nés et ont été nourris de cette pensée.

Le texte « Orphée noir » n’a pas eu le rayonnement attendu dans l’Hexagone. De nombreux ouvrages de référence (manuels et encyclopédies) sur la négritude ne le mentionnaient jamais, contrairement au recueil d’essais et d’articles dont il faisait partie, Situations III. Aussi le bilan est-il mitigé pour l’autorité, en France, d' »Orphée noir » en tant que manifeste de la négritude.

À l’aube des années 1960, «  Black Orpheus « , la traduction anglaise d' »Orphée noir », paraît dans la revue Presse africaine. Il rencontre un franc succès, dont les raisons sont multiples. Sartre étant considéré comme une éminence littéraire et un homme de résistance au sortir de la guerre, le texte était attendu de son public et de la critique. Dans une Amérique en pleine mutation, en proie aux conflits socioculturels et politiques, les thématiques développées par Sartre sur la négritude dépeignent parfaitement les problématiques liées à la ségrégation. À partir de ce constat, nous pouvons d’ores et déjà envisager une nouvelle piste de recherche. En effet, nous pourrions nous demander à présent pourquoi la réception d' »Orphée noir » n’a pas été aussi positive en France qu’aux États-Unis, alors même que le contexte historique de racisme envers le Noir est commun aux deux pays. Ce travail de mémoire se voulait principalement linguistique, mais dans cette nouvelle perspective, il serait pertinent de procéder à une étude transdisciplinaire qui investirait des champs tels que l’Histoire et la littérature afro-américaine, ou encore la sociologie.

Exemple de conclusion d’une thèse

Voir un exemple

Dans une dissertation, un rapport de stage, un mémoire ou une thèse, écrire une bonne conclusion nécessite :

  • de mentionner toutes les parties composant la conclusion (par exemple : retour sur la problématique, analyse des résultats énoncés dans le développement et réponse à la problématique en fonction de ceux-ci, proposition d’ouverture sur le sujet) ;
  • de respecter les règles d’orthographe et de syntaxe ainsi que le style académique (écrire avec clarté, précision, concision, neutralité et cohérence).

Une conclusion comprend généralement :

  • un retour sur la problématique énoncée en introduction ;
  • une analyse des résultats mentionnés dans le développement et une réponse à la problématique en fonction de ceux-ci ;
  • une perspective d’ouverture sur le sujet.

Néanmoins, selon le type de document à rendre (dissertation, mémoire, etc.), ces parties peuvent varier quelque peu. Nous vous recommandons la lecture de notre article sur le sujet si vous souhaitez en savoir plus.

Citer cet article de Scribbr

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Costes, A. (2020, 01 juillet). La conclusion : une fin réussie. Scribbr. Consulté le 21 août 2024, de https://www.scribbr.fr/elements-linguistiques/conclusion-academique/

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Agathe Costes

Agathe Costes

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    La conclusion fait le bilan du raisonnement, en présente les arguments importants. Elle répond à la problématique tout en situant éventuellement le sujet dans une perspective plus large. Phrase introductive de la 2e partie qui annonce les trois sous-parties A, B et C.

  6. Le travail et la technique : corrigés de dissertations & commentaires

    Le travail et la technique sont ils des moyens de civilisations ou de barbarie ? L'art nous est-il plus nécessaire que la technique ? Qu'est ce qu'un travail social juste ? Comment faire de la prévention sans répression ? Exemple de sujet : L'homme doit-il travailler pour être humain ?

  7. Le travail nous fait-il perdre notre liberté

    La problématique découle de ce problème central, puisqu'il s'agira de se demander si le travail est un obstacle à la réalisation de ma liberté et, plus précisément, si le travail nous fait perdre une liberté qui, donc, lui préexisterait. Mais quelle est cette liberté que le travail nous retirerait ? En quoi nous empêcherait-il d'être libres ?

  8. Philosophie : le Travail, un Concept Sociétal

    Conclusion. Le travail est apparemment une source principale d'identité et de valeur - ce par quoi il est donné à chacun de se réaliser socialement, mora­lement, personnellement. Or, en réalité, il est un travail aliéné, soumi aux impératifs de la productivité, dans lequel l'homme, loin de s'ac­complir, se déshumanise.

  9. PDF Dissertation de philosophie

    Dans un premier temps, nous nous demanderons si le travail n'est qu'une activité imposée par l'extérieur contre la volonté de l'Homme, puis dans un deuxième temps nous nous interrogerons sur le fait que le travail est une activité que l'être humain s'impose librement à lui-même.

  10. Conclusion d'une dissertation : comment la rédiger

    Le rôle de la conclusion d'une dissertation est de clore le débat en répondant aux problèmes posés en introduction et de proposer un élargissement du sujet. Elle doit être structurée et claire.

  11. Le travail en philo

    Voici quelques sujets de dissertation sur la notion de travail que vous pourriez rencontrer lors de l'épreuve du baccalauréat : Travailler rend-il libre ? Le travail est-il aliénant ?

  12. Introduction à la Dissertation sur le Travail : Un Guide Complet

    En conclusion, la dissertation sur le travail est un exercice académique complexe qui nécessite une compréhension approfondie du sujet. Cet article vous a fourni un guide complet sur comment comprendre le concept du travail, son importance dans la société, et comment structurer efficacement une dissertation sur le travail. En ...

  13. Le travail

    A quelles conditions une activité est-elle un travail ? A-t-on toujours intérêt à travailler ? Ce que l'homme accomplit par son travail peut-il se retourner contre lui ?

  14. Bac philo 2019, série ES : le corrigé du 2e sujet, « Le travail divise

    • Le travail est une activité dans laquelle les hommes transforment la nature en vue de produire des biens qui leur sont utiles et de subvenir à leurs besoins. • Cette activité n'est jamais...

  15. Travailler est-il un devoir

    Le plan. La dissertation peut être traitée en trois parties : travailler est une contrainte (et non un devoir au sens philosophique), une obligation (et donc un devoir), un désir (autre chose qu'un devoir).

  16. L'introduction, le corps du travail et la conclusion

    Le corps du travail est la partie fondamentale du travail de recherche. Le sujet de la recherche proprement dite y est développé chapitre par chapitre (mémoires ou thèses), paragraphe par paragraphe (travaux de 1 er cycle), ou selon l'ordre établi dans la table des matières.

  17. Dissertation rédigée sur le travail : pourquoi travaillons-nous?

    En nous appuyant sur Les Géorgiques de Virgile, sur La Condition ouvrière de Simone Weil et sur Par-dessus bord de Michel Vinaver, nous verrons que le travail satisfait effectivement les exigences de la vie humaine, mais qu'il peut connaître certaines dérives, d'où la nécessité de l'humaniser.

  18. Citations philosophiques et sujets de dissertation sur le travail

    Citations sur le travail. « Dans le travail, l'occupation n'est pas en elle-même agréable, mais c'est dans un autre but qu'on l'entreprend. En revanche l'occupation dans un jeu est en elle-même agréable, sans qu'il soit besoin de plus de se proposer un but ». Kant. « Il n'est pas de punition plus terrible que le travail ...

  19. Travailler rend-il libre ? Corrigé dissertation

    Dissertation corrigée et entièrement rédigée sur le thème du travail et de la liberté. Ce travail de qualité a été réalisé par une étudiante en double cursus philosophie (L3 Philosophie) et psychologie.

  20. Comment rédiger une conclusion parfaite ?

    Trop souvent négligée et perçue comme peu importante, la conclusion d'un commentaire de texte ou d'une dissertation de philo a pour objectif de récapituler le raisonnement que tu as développé dans ta copie. Autrement dit, de faire un bilan. Dans l'idéal, tout cela ne doit pas te prendre plus d'une quinzaine de minutes. Attention ...

  21. Conclusion de dissertation de philosophie

    La conclusion d'une dissertation de philo sert à résumer votre devoir et à donner votre réponse définitive à la problématique. Vous avez exposé un problème en introduction et avez étudié ce problème dans le développement. En conclusion, vous devez lui apporter une solution. Attention !

  22. Conclusion. Concilier enracinement et ouverture

    Conclusion. Concilier enracinement et ouverture. Dans Race et histoire, Claude Lévi-Strauss indique l'importance de la diversité des cultures, sans laquelle l'humanité serait menacée de stagnation et d'épuisement. Pour lui, les relations entre les sociétés se caractérisent par une double tension entre les affinités et la ...

  23. La conclusion : une fin réussie

    La conclusion dans les dissertations. La conclusion dans la dissertation doit répondre à la problématique posée dans l'introduction du document et proposer une perspective d'ouverture par rapport au sujet abordé. Elle se compose : d'un rappel de la problématique ; d'un bilan des arguments des parties du développement ;

  24. CONCLUSION Importance du travail dans la formation éducative Le travail

    Le travail permet à l'homme d'échapper à la mendicité et aux obstacles naturels qui entravent sa liberté. Le travail rend l'homme libre, autonome et responsable dans sa vie. D'où, affirme René Descartes que le travail rend l'homme maitre et possesseur de la nature.